2024

Bonjour à toutes et à tous,

Je profite d'un instant pour venir vous souhaiter une Très Bonne Année 2024.
Enfin, j'espère qu'elle le sera pour chacune et chacun d'entre vous, pour vos proches, etc.

J'ai toujours du mal à me sentir particulièrement optimiste, désormais. Chat carbonisé craint les glaçons...

Mais je vous souhaite une bonne santé, ainsi que la prospérité afin de pouvoir profiter de cette dernière.
Et de nombreuses lectures et trouvailles !

Bien d'accord avec toi Snarkhunter. On a passé l'âge de croire au Père Noël et consorts. 
Cependant on peut s'espérer une année la moins mouvementée et la moins agitée possible, avec au moins la santé, ce qui à nos âges commence à être moins évident qu'auparavant.
Bref, donc pourquoi pas une bonne et heureuse année 2024 à tous ! 

Excellent recyclage ! La maison ne jette rien.  

Monsieur X a écrit:

Excellent recyclage ! La maison ne jette rien.  

Etant donné la nature de ce forum, on pourrait peut-être même le détourner encore en "Delcampez !"... 

Tu pousses le bouchon un peu loin Maurice. 

A toutes et tous, je souhaite une bonne année, une bonne santé et plein de lectures plaisantes

Tous mes vœux à tous et une belle année 2024 pour vous et vos proches
 
Amitiés
Patrick

Belle et heureuse année à vous et vos proches  Santé, lumière et légèreté !

A mon tour, aux membres du forum avec lesquels j'ai fait peu à peu connaissance et à ceux que je n'ai pas encore eu l'honneur d'aborder, sans oublier à tous nos lecteurs pour lesquels ce forum constitue une source de renseignements précieux comme cela a été mon cas durant bien des années avant que je ne saute le pas ( merci Caroline)et rejoigne notre petite communauté.

                                                Je vous souhaite une bonne et heureuse année 2024!

Tous mes meilleurs vœux pour 2024! Je vous souhaite la santé, le reste suivra!
Je vous souhaite aussi beaucoup de belles trouvailles et de belles lectures.

J'avais prévu d'aller travailler au bureau aujourd'hui... (*)



... mais ce sera plutôt "télétravail", en définitive !

(*) et seul, puisque mes collègues sont censés se trouver sur la route pour aller à un repas auquel la météo m'avait dissuadé de participer.

Et je trouve qu'il ne manquerait qu'un fiacre en attente pour donner à la scène un petit côté "Dickens" !

Je ne savais pas que tu habitais à Gstaad, Snark !

snarkhunter a écrit:

Et je trouve qu'il ne manquerait qu'un fiacre en attente pour donner à la scène un petit côté "Dickens" !

Tout à fait ! 

C'est superbe !
J'adore avoir un peu de neige en hiver. Malheureusement, à Strasbourg, on a bien eu quelques flocons mais pas de couche de neige qui se respecte... pour le moment 

Ici la neige s'est invitée en bord de mer et je profite de cette image rare pour souhaiter une belle année à tous !

Sally a écrit:

J'adore avoir un peu de neige en hiver. Malheureusement, à Strasbourg, on a bien eu quelques flocons mais pas de couche de neige qui se respecte... pour le moment 

Patience, patience...

C'est vrai qu'il n'y a peut-être rien de plus propice à la rêverie qu'un beau parterre enneigé au petit matin, avant que des traces de pas aient commencé à en souiller la "perfection".

Je garde en mémoire les très belles images et couleurs de certaines scènes du "Cercle des Poètes disparus", qui reste l'une de mes références en matière de paysages hivernaux. Le film par lui-même n'est pourtant pas vraiment ce que j'appellerais "guilleret", toutefois... mais je l'avais vu au cinéma à l'époque et je me souviens encore très bien du comportement imbécile et moutonnier de certains spectateurs dans la rue qui croyaient que sortir du cinéma et monter sur le capot de la première voiture garée pour hurler "Carpe Dieml !" était le signe d'une quelconque intelligence ou originalité de pensée.

... Ah, misère ! Ah, malheur !

snarkhunter a écrit:

Patience, patience...

C'est vrai qu'il n'y a peut-être rien de plus propice à la rêverie qu'un beau parterre enneigé au petit matin, avant que des traces de pas aient commencé à en souiller la "perfection".

Je garde en mémoire les très belles images et couleurs de certaines scènes du "Cercle des Poètes disparus", qui reste l'une de mes références en matière de paysages hivernaux. Le film par lui-même n'est pourtant pas vraiment ce que j'appellerais "guilleret", toutefois... mais je l'avais vu au cinéma à l'époque et je me souviens encore très bien du comportement imbécile et moutonnier de certains spectateurs dans la rue qui croyaient que sortir du cinéma et monter sur le capot de la première voiture garée pour hurler "Carpe Dieml !" était le signe d'une quelconque intelligence ou originalité de pensée.

... Ah, misère ! Ah, malheur !

Tu as raison, on n'est pas encore au bout de l'hiver.

Et c'est curieux, j'ai bien vu le film Le cercle des poètes disparus, mais n'ai pas souvenir plus que ça des paysages hivernaux.

"je me souviens encore très bien du comportement imbécile et moutonnier de certains spectateurs dans la rue qui croyaient que sortir du cinéma et monter sur le capot de la première voiture garée pour hurler "Carpe Dieml ! était le signe d'une quelconque intelligence"


Pas possible !! Faut vraiment être crétin.

Dernièrement, neige sur les rochers d'escalade... mais ça n'a pas duré.  

Sally a écrit:

Et c'est curieux, j'ai bien vu le film Le cercle des poètes disparus, mais n'ai pas souvenir plus que ça des paysages hivernaux.

... Voici ce dont je me souviens avant tout lorsqu'il est question de ce film :



Mais ce film est de toute façon riche en scènes marquantes.
Et il est amusant d'avoir retrouvé l'un de ses acteurs principaux (Robert Sean Leonard) dans "Dr House" il y a quelques années (dans le rôle du Dr Wilson, ami de longue date du personnage principal).

Wouah ! aucun souvenir de cette scène !

Pour moi, la scène la plus marquante reste celle où Neil se coiffe de la couronne de Puck, fenêtre ouverte sur le gel.

Chamane a écrit:

Pour moi, la scène la plus marquante reste celle où Neil se coiffe de la couronne de Puck, fenêtre ouverte sur le gel.

C'est vrai que c'est une scène émotionnellement assez chargée.
Tout comme les scènes où il affronte ouvertement l'autorité de son père (un homme borné qui ne conçoit pas que son autorité puisse être contestée, mais qui baissera pourtant le masque - quoique trop tard - pour exprimer les sentiments qu'il avait pour son fils).

Je suis content d'avoir découvert ce film au cinéma avant qu'il ne devienne le phénomène que l'on sait et que Robin Williams n'atteigne le statut (mérité) d'acteur culte grâce à ce rôle.

Et pour ceux qui ne le connaîtraient que dans ses rôles "académiques" plus tardifs, je recommande le "Popeye" de Robert Altman, qui est une absolue curiosité.



Je sais que c'est un film que le réalisateur n'assume plus depuis longtemps, mais on y trouve néanmoins de véritables performances d'acteurs...