Etes-vous collectionneur ?

Rappel du premier message :

On peut avoir la passion des livres d'enfants.
On peut les aimer.
On peut choisir de réunir une collection, une édition.

J'ai été amené à devenir collectionneur pour les besoins de mon site !
Au départ, j'avais décidé seulement de retrouver les livres de mon enfance, ceux des années 60...
Puis pour le site, en me limitant à Blyton, Buckeridge, et Bonzon... (oui, j'ai aussi ajouté Puck... et Séchan)... j'ai décidé (d'essayer) d'avoir toutes les éditions du plus grand nombre de titres...

J'en ai beaucoup ! Je n'ai pas tout !

Et vous ?

Bien sur, votre devoir, (hi ! hi ! ) si vous avez une édition absente du site, c'est de m'envoyer un scan de la couverture, et du résumé, édition, illustrateur, etc.) :face:

Et que dire du "C'est toi Fantômette" parti à 150 € sur E-bay !!!!!!!!!!

Pouchky, en plus, c'est une fille de mille pompons....

On est fondu, à Mille Pompons!!!
Non, sérieusement, elle est venue à Mille Pompons après avoir enchéri et acheté l'objet. Je suis sûre que si elle s'était manisfestée avant, quelqu'un lui aurait proposé un "c'est toi" moins cher.

N'empêche, j'ai acheté un bennet 20 euros dernièrement, et je l'ai quand même lu au lit en grignotant!

Ouaihhhhh ! 20 euros, c'est déjà pas mal.... C'est lequel ??? Tu avais du mal à le trouver ?
Et on grignote au lit comme ça ????????????????????? :geek:

C'était "Bennett dans la caverne", on le trouve assez peu.

Oui, un bonheur dans l'existence, c'est pouvoir grignoter au lit en lisant un bouquin ou une bd!

Pouchky a écrit:

C'était "Bennett dans la caverne", on le trouve assez peu.

Oui, un bonheur dans l'existence, c'est pouvoir grignoter au lit en lisant un bouquin ou une bd!

pouf ! pouf ! pouf !
Grignoter au lit !

Grignoter en lisant !
grignoter au lit en lisant !
Grrrr ! madame !
Attention à l'obesite americanicus...
Pouuuuh ! il y a actuellement un pub à la télé... je détourne les yeux chaque fois qu'elle passe !
Un moussu et une madame qui se goinfrent de pop corn au cinéma !
Une abomination ! ça devrait être interdit de montrer ça aux enfants...


C'est pour rire, hein !

Quoi! Tu arrives à résister à l'envie de manger quand tu lis?

Mais malheureux, une grande partie de ma fascination pour le C5 vient du fait qu'ils font toujours des repas fastueux, des goûters monstres, des petits déj à grand coups de tartines beurrées...

Là je confirme !! Je me suis arrêtée hier soir en plein pique-nique et croyez moi, ça y allait !!!!!!! :twisted: Pour qui les sandwiches (et pas du sandwich de mauviette vu les descriptions... Pour qui les morceaux de tartes, j'en salivais tiens !!!!

Moi, ce qui me gonfle en ce qui concerne les pop corns au cinéma, c'est le BRUIT !!!!!!!! :evil:

Hi ! hi !

Moi, j'adore manger, j'aime les bonnes choses, et aussi boire un bon coup !
...à table, pendant un repas !
...à la bonne vôtre !


Sree, Fan Indien, on parle de bouffe et du club des cinq ! et tu ne dis rien ?
Gourmand !

Ah, la bouffe et les Cinq! Toute une histoire! Je crois que c'est dans le C5 au bord de la mer qu'ils se retrouvent dans une ferme où ils sont nourris (gavés) de repas plantureux par une mère nourricière qui n'a pas de plus grande satisfaction que de nourrir une tablée d'enfants affamés (les siens ont quitté le nid familial). Elle est mariée à une sorte d'ogre qui s'exprime par grognements (il n'a pas son dentier) et qui engloutit force victuailles.

IL y a aussi un passage où je ne sais plus qui s'étonne en contemplant Annie repue se laisser reposer contre le dossier de sa chaise, qu'autant de nourriture puisse être contenue dans un si petit corps!

Cette manie de la nourriture vient-elle des privations de la guerre?

Dans Alice aussi le fait de déjeuner reste important, et le repas est toujours "simple et délicieux", Sarah est excellente cuisinière, et Bess est gourmande. Certains romans commencent par un déjeuner de préférence dans un restaurant agréable ou une auberge sympathique qui fait un "délicieux" poulet à l'estragon. Quand on commence une lecture comme ça, comment voulez-vous ne pas faire un tour dans le frigo?
C'est souvent dans des restaurants que l'on découvre des personnages ou des éléments qui font avancer l'histoire.

Dans Fantômette, c'est Boulotte qui concentre sur son personnage toutes les mentions sur la nourriture, elle est toujours la bouche pleine, et quand elle parle, c'est pour dire qu'elle va manger quelque chose. Aussi, quand elle est séquestrée, c'est la nourriture plutôt que la liberte qui lui manque. Dans les romans les plus récents, elle inventes des recettes farfelues et peu ragoûtantes, mais au début de la série, sa cuisine est très acceptable et les trois amies ne laissent pas de quoi nourrir un moineau rachitique.


Dans les TKKG, c'est Bouboule qui s'engouffre des tablettes de chocolat par plaquette à longueur de journée.

Bref, quitte à dévorer un livre, autant qu'il contienne de la bouffe!

Admin - Serge a écrit:

Hi ! hi !

Moi, j'adore manger, j'aime les bonnes choses, et aussi boire un bon coup !
...à table, pendant un repas !
...à la bonne vôtre !


Sree, Fan Indien, on parle de bouffe et du club des cinq ! et tu ne dis rien ?
Gourmand !

Eh bien, quand on parle de nourriture, on en voit les ... fans ! Alors me voici !

L'une des raisons pour lesquelles j'adore les aventures d'EB, c'est qu'elles sont toujours agrémentées de descriptions riches en détails de bonne chère.

Lorsqu'il s'agit d'un pique-nique en été, les menus se composent de : sandwiches au fromage, au jambon, à la laitue. A cela s'ajoute des bouteilles et des bouteilles de cidre, de limonade ou d'orangeade, quand on ne se contente pas de glaces à la fraise, au chocolat, à la pistache...

Au coeur de l'hiver, nos amis préfèrent des pots de chocolat chaud, des tartines beurrées, des galettes tout juste sorties du four, des tasses de café-crème, d'autres choses encore...

Et je ne parle pas des friandises, nombreuses, que nos amis croquent à toute heure de la journée : pastilles à la menthe, dragées, bonbons, cornets de crème glacée ou biscuits... MIAM !

Alors lorsque je mange un morceau de gâteau ou une pâtisserie, je préfère toujours avoir sous la main un livre d'EB afin de mieux savourer ce que je bouffe !

Et j'adore aussi les décors dans lesquels on s'attaque à de si copieux repas : dans une ferme, au sommet d'une colline, au bord de la mer, ou au fin fond d'une lande à l'ombre d'un cerisier...

Vive Blyton et ses belles descriptions de nourriture qui s'ajoutent au plaisir de mieux apprécier ses histoire...

Pouchky a écrit:

Ah, la bouffe et les Cinq! Toute une histoire! Je crois que c'est dans le C5 au bord de la mer qu'ils se retrouvent dans une ferme où ils sont nourris (gavés) de repas plantureux par une mère nourricière qui n'a pas de plus grande satisfaction que de nourrir une tablée d'enfants affamés (les siens ont quitté le nid familial). Elle est mariée à une sorte d'ogre qui s'exprime par grognements (il n'a pas son dentier) et qui engloutit force victuailles.

IL y a aussi un passage où je ne sais plus qui s'étonne en contemplant Annie repue se laisser reposer contre le dossier de sa chaise, qu'autant de nourriture puisse être contenue dans un si petit corps!

Cette manie de la nourriture vient-elle des privations de la guerre?

Dans Alice aussi le fait de déjeuner reste important, et le repas est toujours "simple et délicieux", Sarah est excellente cuisinière, et Bess est gourmande. Certains romans commencent par un déjeuner de préférence dans un restaurant agréable ou une auberge sympathique qui fait un "délicieux" poulet à l'estragon. Quand on commence une lecture comme ça, comment voulez-vous ne pas faire un tour dans le frigo?
C'est souvent dans des restaurants que l'on découvre des personnages ou des éléments qui font avancer l'histoire.

Dans Fantômette, c'est Boulotte qui concentre sur son personnage toutes les mentions sur la nourriture, elle est toujours la bouche pleine, et quand elle parle, c'est pour dire qu'elle va manger quelque chose. Aussi, quand elle est séquestrée, c'est la nourriture plutôt que la liberte qui lui manque. Dans les romans les plus récents, elle inventes des recettes farfelues et peu ragoûtantes, mais au début de la série, sa cuisine est très acceptable et les trois amies ne laissent pas de quoi nourrir un moineau rachitique.


Dans les TKKG, c'est Bouboule qui s'engouffre des tablettes de chocolat par plaquette à longueur de journée.

Bref, quitte à dévorer un livre, autant qu'il contienne de la bouffe!

Sree (fan_indien) : Pouchky, un petit corps - celui d'Annie - pour pouvoir contenir tant de sandwichs, c'est dans 'randonnée'. Juste avant que les cinq prennent le chemin de la lande, ils s'arretent au magasin de sandwichs. Et c'est là que la tenancière de la boutique fait cette remarque.

C'est Claude qui, dans "en vacances", s'adosse au dossier de sa chaise avec un soupir de soulagement parce qu'elle "ne pouvait plus faire honneur aux délicieux gâteaux confectionnés par Maria".

Et, bien entendu, nos héros n'oubliaient pas le brave Dago qui avait toujours sa part - et quelle part - des festins !

Mais tu les connais par coeur!

eh ben, je suis impressionné par tes connaissances, cher fan_indien
je les ai relu récemment pourtant je n'aurai pas pu citer ces scènes ! chapeau bas !
comme dit Pouchky, tu les connais par coeur !!

c'est vrai que les scènes des repas, ça donne faim !! (d'ailleurs, il est midi là, et j'ai l'estomac dans les talons !! ). ça donne surtout un côté plus humain, moins "super-héros" aux Cinq...

Sylvak a écrit:

eh ben, je suis impressionné par tes connaissances, cher fan_indien
je les ai relu récemment pourtant je n'aurai pas pu citer ces scènes ! chapeau bas !
comme dit Pouchky, tu les connais par coeur !!

c'est vrai que les scènes des repas, ça donne faim !! (d'ailleurs, il est midi là, et j'ai l'estomac dans les talons !! ). ça donne surtout un côté plus humain, moins "super-héros" aux Cinq...

Ben, ça c'est clair comme de l'eau de roche ! Et c'était justement ces scènes de repas si pittoresques qui donnaient aux récits d'EB leur style inimitable ! Impossible, comme vous le dites, Pochky et Sylvak, d'aller faire un petit tour dans le garde-manger.

Allez, bon appétit à toutes celles et à tous ceux d'entre vous à qui j'aurais pu donner envie de bouffer...

Je viens de lire les posts des derniers jours (sic!) et je suis ravie de voir qu'ici aussi les descriptions alimentaires de EB sont très appréciées.
Il en est de même chez nos amis du groupe EB. Pratiquement pas un post où il ne soit question (en aparté ou en vrai sujet) de quelque aliment qu'on aimerait bien, qu'on est en train ou qu'on se souvient avoir mangé! *lol*
Mais il est vrai que c'est ce qui fait le charme des descriptions blytoniennes. D'ailleurs pendant qu'on y est: que pensez-vous des fêtes de minuit organisées par maintes classes de Malory School?? Pas mal non plus, non? De mémoire, je ne me souviens que d'une scène dans laquelle les harengs (ou autre poisson en conserve) côtoient des pâtisseries à la crème et autres sucreries... Mmm!

Anne a écrit:

Je viens de lire les posts des derniers jours (sic!) et je suis ravie de voir qu'ici aussi les descriptions alimentaires de EB sont très appréciées.
Il en est de même chez nos amis du groupe EB. Pratiquement pas un post où il ne soit question (en aparté ou en vrai sujet) de quelque aliment qu'on aimerait bien, qu'on est en train ou qu'on se souvient avoir mangé! *lol*
Mais il est vrai que c'est ce qui fait le charme des descriptions blytoniennes. D'ailleurs pendant qu'on y est: que pensez-vous des fêtes de minuit organisées par maintes classes de Malory School?? Pas mal non plus, non? De mémoire, je ne me souviens que d'une scène dans laquelle les harengs (ou autre poisson en conserve) côtoient des pâtisseries à la crème et autres sucreries... Mmm!

Alors là, Anne, c’est trop injuste : tu me mets l’eau à la bouche !

Attends, le temps d’aller faire une petite visite dans mon garde-manger, et je reviens.

Me revoici ! Miam, que c’était bon ces raisins de Corinthe, des biscuits, une gorgée d’orangeade fraîche bue au goulot de la bouteille !

Bon eh bien pendant le week-end, je lisais « Les Souvenirs d’Enid Blyton » par François Rivière. Voici donc, pour votre plaisir à tous, un petit extrait de son livre, concernant la bouffe chez Enid Blyton :

--Place à l’extrait--

La nourriture, dans les histoires de Blyton, occupait une place sans doute moins rituelle que chez la Comtesse de Ségur, mais elle n’était jamais là par hasard. Au moindre signe d’angoisse, dès que les enfants semblaient ressentir le besoin de quelque façon que ce fût de cette sécurité qu’on leur doit – et réclamée à grands cris muets par le lecteur ! – nos héros de papier et nous-mêmes étions mis en présence de plats succulents, à faire pâlir d’envie les cuisiniers de Sa Majesté la Reine d’Angleterre. Ces mets à l’anglaise, sortes de grands thé-pique-niques ou dînettes n’ayant bien sûr rien à voir avec les interminables repas de famille à mourir d’ennui. Ceux-là redonnaient des couleurs, de l’assurance, voire de la gaîté au plus fort de la tempête, points de sustentation, si j’ose dire, au coeur du parcours dès que le drame semble prendre des proportions telles que la romancière elle-même ne l’eût pas souhaité.

Alors que chez la Comtesse de Ségur, on gave les enfants riches tandis que les petits pauvres (ou les pauvres petits) se serrent la ceinture, chez Blyton, les enfants se « servent » pour bien montrer et se montrer que l’aventure et les émotions, ça creuse et que lorsqu’on a tout ce qu’il faut pour calmer la faim, il faut en profiter, prendre des forces pour être « bien dans sa peau ». Rien de plus simple : dans cet univers matériel tellement sécurisant – Blyton, au moment où elle écrit le premier roman des Cinq, en 1942, s’efforce plus que jamais de croire à ce monde tellement près de sombrer dans l’horreur -, il importe de savoir profiter honnêtement de toutes les bonnes choses que la nature met à votre disposition.

Chère Anne, moi aussi j’adore les réveillons de minuit à Malory School, à Saint-Clair, à l’école Shelley. Cela commence par l’anniversaire de l’une ou l’autre des élèves : elles décident de se réunir en petit comité au bord de la piscine, au clair de lune, à minuit tapante ! Débute alors les chuchotements, les cachotteries, les crises de fous rires vite réprimés. Arrivées à la piscine, les filles se dépêchent d’abord de piquer une tête dans l’eau, puis, elles se régalent de mille friandises plus somptueuses les unes que les autres : pêches au sirop, tablettes de chocolats, tranches d’ananas, saucisses frites, fraises à la crème, gâteaux au chocolat, meringues, éclairs au café, choux débordant de crème fouettée, petits-fours, biscuits au gingembre, et le tout arrosé de bouteilles d’orangeade fraîche à souhait. Hé oui, il y en avait pour tout le monde et pour tous les goûts !

Oui, oui, Anne, moi aussi je me rappelle certain réveillon où les filles essayent des combinaisons de mets on ne peut plus rigolos : je crois que c’était durant la fête d’anniversaire de Carlotta dans « Deux Jumelles et une écuyère ». Mais je pourrais me tromper… il va falloir que je relise toutes ces belles aventures ! En attendant, je me souviens du réveil du lendemain salué par des grognements : comment veut-on que des filles restées éveillées jusqu’au bout du matin à faire la fête se lèvent au premier chant du coq ! :sleep:

Et oui! La place de la nourriture dans nos séries préférées!
J'ai aussi un faible pour le medianoche au bord de la piscine dans "Claudine et les deux jumelles", bouffe et baignade, et le tout sans réveiller toute la pension!

Dans Bennett aussi, la nourriture est tellement mauvaise bien qu'abondante à Linbury, que la moindre boîte de sardine, ou un gâteau de la tante Angèle devient un trésor!

tu me fais penser qu'il faut que je m'achète le libre de François Rivières !!
merci pour la piqûre de rappel !!

fan_indien a écrit:

Alors là, Anne, c’est trop injuste : tu me mets l’eau à la bouche ! [...]
se régalent de mille friandises plus somptueuses les unes que les autres : pêches au sirop, tablettes de chocolats, tranches d’ananas, saucisses frites, fraises à la crème, gâteaux au chocolat, meringues, éclairs au café, choux débordant de crème fouettée, petits-fours, biscuits au gingembre, et le tout arrosé de bouteilles d’orangeade fraîche à souhait. Hé oui, il y en avait pour tout le monde et pour tous les goûts !

Oui, oui, Anne, moi aussi je me rappelle certain réveillon où les filles essayent des combinaisons de mets on ne peut plus rigolos : je crois que c’était durant la fête d’anniversaire de Carlotta dans « Deux Jumelles et une écuyère ». Mais je pourrais me tromper… il va falloir que je relise toutes ces belles aventures !

Alors là, c'est toi qui es injuste - je sors tout juste de ma pause de midi et voilà que tu me chantes les louanges des plus beaux réveillons de minuit qui soient!!!

Pouchky a écrit:

J'ai aussi un faible pour le medianoche au bord de la piscine dans "Claudine et les deux jumelles", bouffe et baignade, et le tout sans réveiller toute la pension!

Réveillon au bord de la piscine - un grand événement pour Dolly et ses amies également!! Cela m'a toujours surprise que malgré le bruit qu'une dizaine de filles (ou plus) doit faire en préparant tout pour leur réveillon*, personne ne semble les entendre - ou alors les profs ont un bon sommeil, les oreilles bouchées ou elles sont bonnes joueuses et font celles qui n'entendent pas...

*bah oui, quoi?! C'est pourtant bien connu: plus on veut être silencieux et plus on fait de bruit(s). Surtout la nuit, les bruits portent loin...

fan_indien a écrit:

En attendant, je me souviens du réveil du lendemain salué par des grognements : comment veut-on que des filles restées éveillées jusqu’au bout du matin à faire la fête se lèvent au premier chant du coq ! :sleep:

Ah oui, seul gros inconvénient de ce genre de fête: se réveiller, se lever, et essayer de ne pas s'endormir en cours le lendemain!! *lol*

Admin-Serge a écrit:

Plus sérieux !

Les premiers Club des cinq, et autres, vers 16 - 17 ans, je les ai donnés à une bibliothèque pour tous...

Puis je les ai rachetés.... Puis ceux rachetés, je les ai donnés à mes cousines....

Là, un grand trou !
Puis avec internet, beaucoup plus tard, vers 90... le les ai rachetés pour faire mon site...

moi je les ai gardés sauf 1 que j'avais égaré puis racheté il y a 1 an

en gros (les 3 N), et maintenant je complète la série des 6 compagnons

pour avoir la collection des titres de Pj bONZON uniquement ,

les collectionneurs étant aussi puristes..

Je ne suis pas ce que l'on pourrait dire une collectionneuse, je n'en ai pas les moyens mais si lors de mes visites sur des brocantes et autres manifestations, je tombe sur un titre pas trop onéreux, là, je craque et je complète ce que j'ai déjà (excepté les Six Compagnons)



Soit: Les Cd5, les Cd7, les Langelots, Roggy, Alice, Michel, Suzy la rouquine, Les Conquérants de l'Impossible, Les Evadés du Temps, les Cinq Jeunes Filles, la Série des Malory School, sans oublier La série "Mystères" et surprise des surprises, un jour, j'ai eu le choc de tomber sur "Fanchon Hotesse de l'Air" de Fernance Féron, là, j'ai craqué en me disant mon dieu, je vais devoir me trouver devant une autre tentation de racheter des "Fanchons", jusqu'à ce que je me rende compte sur internet, que Mme Féron n'avaient pas écrit de nouvelles histoire de Fanchon Mais c'était tout de même une grande émotion de le racheter.



Enfin, un autre jour, je fais une découverte (grâce au forum en découvrant un fil sur Mr Georges Bayard) comme celle de "L'Ecole des détectives" de Georges Bayard, que j'ai dévoré d'une seule traite. Mine de rien, petit à petit, cela commence à faire un certain nombre de titres

Je pense que je peux dire que je suis une collectionneuse.
Uniquement de livres, aucune autre collection à mon actif.

Je pense que c'est déjà suffisant: j'en plus de 1000!

Fantômette, le club des 5, les 6 compagnons, Malory School, Alice, Bennett, les soeurs Parker, 3 jeunes détectives, jeunes filles en blanc, Cherry Ames, Shirley.

Mais aussi Tintin, Astérix, les Schtroumpfs, petit Spirou, Gaston Lagaffe.

Ou encore les étoiles d'or, les petits livres d'or et d'argent, barbapapa, Maya l'abeille, Martine, Pépin la bulle, la maison de toutou, le Mickey Club, Harry Potter.

.......

Je dois en oublier, mais c'est déjà pas mal!

Je précise que je n'ai (malheureusement) pas toutes les séries complètes et que je ne mets jamais de grosse somme pour acheter un livre.

J'adore fouiller dans les VG, chez Emmaüs... Et trouver mon bonheur pour moins de 1 euro!!

Je collectionne aussi, mais dans la limite de ma surface de vie, autrement dit les 60 m2 de mon appart ! ce qui veut dire que je fais attention à ce que je veux réunir autour de moi, sachant que je ne suis pas éternelle et que mes enfants ne sauront que faire de ce qui, pour moi, avait de l'importance !

Donc, en ce moment, j'ai un réel plaisir à réunir mes CD5 de la première époque, j'ai trouvé le CD5 en randonnée dernièrement à Emmaüs, mais il manque les 8 premières pages... donc, je l'ai laissé.

Surtout, j'aime "apprendre" sur la vie d'un objet. Je suis triste de retrouver en broc des anciennes poupées Bella ou GéGé ou Raynal qui eurent leurs heures de gloire et qui finissent misérablement sur un étal. Alors, je restaure, je leur redonne vie...

... elles finissent dans un carton à la cave...

... OH la chipie ! pas vrai, les plus belles sont exposées !

Les BD prennent de la place, j'ai du me séparer de quelques unes et je pense aussi céder mes albums Spirou que j'avais envie de relire et que j'avais acquis à prix minime depuis quelques années.

... au poids, y'en a des tonnes !!!

Oui, je collectionne, mais je me soigne ! gniark...

Admin-Serge a écrit:

Plus sérieux !

Les premiers Club des cinq, et autres, vers 16 - 17 ans, je les ai donnés à une bibliothèque pour tous...

Puis je les ai rachetés.... Puis ceux rachetés, je les ai donnés à mes cousines....

Là, un grand trou !
Puis avec internet, beaucoup plus tard, vers 90... le les ai rachetés pour faire mon site...

Serge nous montre, et c'est ce que je ressens, que le bonheur du collectionneur est d'essayer de trouver l'objet désiré. Une fois possédé, une grande partie du plaisir disparait, et il faut alors se mettre en quête d'autre chose. Commençant tout juste des recherches d'ouvrages BR/BV, je n'ai aucune envie qu'on me donne une collection complète. Où serait mon plaisir ensuite ? Sauf si cela fait des années que je cherche la perle rare ...

Je suis collectionneur dans l'âme et je dois dire que c'est depuis ma plus tendre enfance. Toute ma vie est d'ailleurs basée sur la collection car j'ai été bouquiniste, vendant de la BD ancienne et de collection, comics usa, français, revues...etc
Ensuite j'ai trouvé une filière vers l'art....mais je reste encore collectionneur et acquéreur d'oeuvres d'art ayant trait à la BD. Et bien entendu hum....je collectionne tout sur Jean Sidobre.