Pas un bon "clan des sept" !
Après une soirée passée à la foire, les Sept du Clan, accompagnés de cette peste de Suzie et de son amie inséparable Nicole, aperçoivent une vieille bicoque en flammes. Fidèles à leur réputation, les Sept volent au secours : Pierre prévient les pompiers qui éteignent le feu mais hélas ! ils n'ont pu sauver grand-chose.
Accourt une femme poussant un landau : celle-là même qui, quelques heures plus tôt, avait régalé les Sept de gaufres sans les faire payer.
Comme on s'y attend, Pierre et Jeannette prient leur mère de venir en aide à cette bonne femme, ainsi qu'à son mari et à leurs enfants, l'un encore bébé et l'autre un petit aveugle.
En milieu d'histoire, M. Boland (Mr. Bolan en VO) subtilise un violon chez un antiquaire, pour en faire cadeau à son enfant aveugle dont le seul plaisir est de jouer de cet instrument.
Aussi, la nuit sur la colline, l'air résonne-t-il de notes mélancoliques... on dirait une âme en peine, personne ne devine qu'il s'agit du petit aveugle jouant de son violon.
Mais on finit par découvrir le coupable et... heu... j'ai oublié ce qui se passe après !
Je relis la dernière partie de l'histoire et je reviens en parler, tout ce que j'ai dit plus haut étant de mémoire....