« Messieurs, commença le sous-secrétaire d'État Calabrese, j'entrerai immédiatement dans le vif du sujet. Ce matin, à sept heures, le général Wallace Mac Dougall, commandant suprême de toutes les forces américaines en Europe, a été kidnappé à son domicile à Rome. Nous avons lieu de croire que l'un des ravisseurs est français.– Monsieur le ministre, dit Langelot, je vous promets que la France fera tout ce qu'elle pourra. »Dès le tout début on n'y croit que très moyennement...
Langelot qui se retrouve choisi pour représenter la France dans une réunion au sommet ...
Certes il a déjà réussi 35 missions. Mais aller envoyer un sous-lieutenant de 18 ans parler d'égal à égal dans un moment de crise avec des personnalités politiques et militaires à ce point installées dans leurs fonctions, je n'y crois pas 2 secondes... Alors bien sûr il aurait fallu poser la question à un lecteur de 13/15 ans.
De même, j'ai du mal à croire aux motivations qui ont poussé Langelot à vouloir effectuer cette mission...
C'est le 2e Langelot consécutif qui se passe en Italie.
Au chapitre 2, je note que si Vladimir Volkoff apprécie les États-Unis, il parle du Coca mais ne l'apprécie pas : "... si tu veux t'empoisonner ...". Pas tout à fait conquis quand même...
Pour continuer sur cette histoire de Coca, je suis limite choqué car non content de rementionner la marque quelques lignes plus loin, Robert Bressy s'est cru obligé (à moins qu'il ne l'ait été...
) de dessiner la bouteille de Coca. Aujourd'hui ça s'appelle un placement de produit ... et c'est bien rémunéré. En était il déjà de même en 1983 ? J'imagine que oui et ça me dérange bien (moi qui n'aime pas le Coca !)
J'ai bien aimé la péripétie du passage à niveau du chapitre 5. Ne serait-ce que pour cela je suis bien content d'avoir lu cette aventure.
Hormis cette péripétie, les reste ne m'a pas réellement emballé. Oh bien sûr tout ça se lit, mais de loin, sans adhérer vraiment (toujours ce problème de style qui a changé et auquel je n'adhère plus ...)