Le club des cinq et le trésor de l'île

Bonjour à toutes et tous,
Une fois n'est pas coutume, je vais râler... après l'Oncle Henri.
J'ai trouvé il y a quelques jours, un livre Vermeille, Le club des cinq et le trésor de l'île.
Pour le grand format, le confort de la lecture indéniable et enfin pour les dessins de Sidobre, qui me gênent toujours un peu, et aujourd'hui je commence à comprendre pourquoi.
Donc revenons à l'Oncle Henri dans cette aventure là....
Je connais l'histoire et d'illustration en illustration, tout doucement j'ai lu un paragraphe puis deux et hop, sans m'en rendre compte j'ai relu le livre, toujours avec autant de plaisir, J'ai redécouvert comment Claude fait la connaissance de ses cousins... j'ai vu qu'au début c'est elle la meilleure nageuse et plongeuse et il me semble que en randonnée elle a perdu ses capacités de plongeuse.... passons !
Donc l'oncle Henri ! Oh ! mais quel C.. ! je pèse mes mots, vraiment un gros C.. !! je dirais hum hum maintenant.
Malgrès mon âge, je n'ai pu m'empêcher de lui hurler dessus.....
Voilà donc nos chers amis qui rapportent le coffret à Kernac. Et suite à la tentative bruyante de François, il confisque le coffret.... tout en déclarant péremptoirement que ce coffret ne leur appartient pas, que ceci celà.... admettons !
Et ne voilà -t-il pas qu'il vend sans trop se poser de question l'animal, ce coffret au premier venu, tout bêtement pour une question d'argent !!! mais il est fou !
Dans ce coffret, se trouve un livre qui serait le livre de bord de l'ancêtre de sa femme, et bien quoi ? on vend, tout simplement ! que se soit un souvenir de famille, aucune espèce de remord, l'argent ! l'argent !!! c'est sa seule excuse.... non mais quel hum hum !!!
QU'il y ait une carte ne lui pose aucun problème, pas une seconde il ne se pose de question, carte trouvée dans un coffret lui même dans une épave, ben quoi ??? c'est normal non ? et allez donc, on vend !!!
Je rappelle juste que le coffret selon ses propres déclarations, ne lui appartient pas plus qu'à ses enfants... mais pas de soucis, je vends ce qui ne m'appartient pas....
Je suis choqué, UN qu'il puisse ainsi être si bête ! lui un savant ! qu'il puisse ainsi déclarer des absurdités aussi énormes, qu'il puisse ainsi vendre des document familliaux sans autre justification que l'argent...
QUEL GROS hum hum !!!
Et je passe sur la vente de l'île rêglée elle aussi en deux temps trois mouvements, et allez donc !
J'aimerai beaucoup savoir à quoi pensait Enyd en lui donnant un tel comportement, elle le fait vraiment passer pour un gros NUL !!! archi NUL ! méprisant pour l'histoire de son épouse, de sa belle famille... quel goujat, quel muffle, quel petit personnage....
Voilà dans quel état m'a laissé cette relecture, comme quoi à plus de 60 ans on peut encore se passionner pour nos chers petits héros de notre enfance.
Allez, je me calme, un suppo et au lit !
Spéléo

speleo26 a écrit:

Voilà dans quel état m'a laissé cette relecture, comme quoi à plus de 60 ans on peut encore se passionner pour nos chers petits héros de notre enfance.
Allez, je me calme, un suppo et au lit !
Spéléo

Faut pas rester dans cet état là !
Le suppo si tu veux...
Mais trois bons grogs bien tassés vont te rendre le sourire ! ... enfin, un sourire...      

Tu aurais pu titrer ton sujet " Taillons un costard à l'oncle Henri " 


Je te rejoins complètement sur tout ce que tu as dit .L'oncle Henri est odieux ,capricieux, caractériel et assez irresponsable . Le génie n'excuse pas tout !

 Autre exemple qui m'énerve ++ :il ne réagit pas quand Annie raconte qu'ils ont été confrontés à des bandits armés  mais il hurle parce que Claude a démoli leur canot .. ¨ Et pour un mec intelligent il a la compréhension assez lente.
A la fin du trésor de l'île il explique que sa nouvelle richesse va lui apporter soulagement et détente et que du coup  'il sera moins irritable  mais dans les tomes suivants il est toujours aussi ch.....
Pfftt et quand il va quelque part sa femme DOIT l'accompagner sinon Mr serait perdu !
Enid   y est allé à la louche  avec ce personnage , elle n'a pas fait dans la nuance .Avait -elle un compte a régler avec les hommes et les pères en général ?

Et glou et glou et glou....
Donc trois grogs plus fart... je reluis.... euh je redis....
Je pense en effet que Enid rêgle de gros contentieux avec la gent masculine...
L'oncle Henri est en effet toujours falot, accariatre, bonnet de nuit en un mot.... mais qu'est-ce que lui a trouvé sa femme ???? elle fille de noble, avec de belles propriétés, lui pauvre, savant peut-être, mais quelle couche il se trimballe, peut-être quelque dons au lit ????
Mais bon, çà c'est une autre histoire.
Spéléo

C'est peut-être une copie des savants de l'époque Blytonienne, le père de Pilou dans "La boussole du Club des cinq" est du même genre, sauf que lui, il ne peut pas être accompagné de sa femme puisqu'il est veuf, mais le caractère.....   et les deux savants n'hésitent pas à laisser partir seul, les enfants dans le phare, comme partout d'ailleurs.

Et dans le C5 va camper: Mr Clement le prof qui les accompagne est gentil mais grotesque !!

Quand j'étais enfant, la sévérité d'Oncle Henri me révoltait.
Maintenant, je me rends compte que sa sévérité est très bonne pour les intrigues . Il crée beaucoup de conflits par ses décisions et les conflits sont bons pour l'histoire, sinon on s'ennuie (on apprend ça dans les cours de scénario)

C'est un peu comme le professeur Lenoir : le fait qu'il déteste les chiens est super important pour lancer toutes les histoires de passages secrets, promenades nocturnes de Claude, etc

En fait, les adultes comme l'oncle Henri ou le professeur Lenoir créent des problèmes dès le début de l'histoire, ce qui permet d'être accroché en attendant l'apparition des vrais "méchants".

Dans le Trésor de l'Ile, il ne se passerait d'ailleurs pas grand chose si l'Oncle Henri était un adulte normal. Pas de problème avec Dago, pas de problème de carte au trésor revendue aux bandits...

Bonjour,
Pat je comprends ton point de vue, mais, et là je vais faire une passerelle entre deux sujets du forum....
Ta dam...  : c'est à mon avis une facilité comparable aux voyages qui permettent sans beaucoup de peine d'inventer une péripétie par page....
N'aurait-on pas pu imaginer que nos amis trouvent donc la carte et le livre de bord, qui entre nous soit dit est une trouvaille inexploitée, alors que sa lecture, son déchiffrement aurait pu apporter beaucoup à l'histoire, mais non Enid balaie çà d'un revert de plume... dommage, donc ils trouvent la carte, un coup de vent la fait s'envoler, elle s'envole bien rapportée par Dago... donc elle s'envole et tombe dans les mains de nos voleurs, ils la lisent, finissent par la rendre aux enfants (encore des péripéties), du coup les deux groupes connaissent le secret des souterrains, et ...... course contre la montre, enfermement, la fin peut être identique...
Pour Monsieur Lenoir, je suis moins critique, la phobie des chiens étant une affection véritable, et fort incapacitante pour ceux qui en sont atteint...
Alors que le comportement de l'oncle Henri ne peut s'excuser que par une petitesse d'esprit, une C....RIE monumentale assez incompatible avec son état de SAVANT.
Bref, je suis persuadé qu'Enid a : UN cédé à la facilité, DEUX n'avait pas encore découvert le fort potentiel qu'avait sa nouvelle série, pour moi se sont des erreurs de début de série, qui alors n'avait pas encore montré sa future brillance. TROIS avait un problème avec les hommes murs qui se prennent pour des lumières... car soyons honnête, qui de vous connait l'utilité d'une seule des découvertes de notre nullité Kernakoise ?
Spéléo

Je viens de terminer la relecture de ce titre. Et comme Pat, je pense qu'Enid Blyton se sert de l'oncle Henry pour piquer au vif ses jeunes lecteurs (en étant indignés par le comportement, probablement assez répandu à l'époque d'ailleurs, du père de Claude). Je vois au moins deux autres utilités à dépeindre ainsi ce personnage : d'une part c'est ce qui justifie (en grande partie) le caractère ténébreux de sa fille (l'hérédité donc) et d'autre part cela permet de rendre Tante Cécile encore plus gentille, plus douce, plus sympathique donc ...

Une fois n´est pas (plus) coutume : un sujet sur le Club des Cinq.
Non seulement sur un des mes titres préférés, mais en plus dans une super édition Vermeille avec les super illustrations du grand Sidobre.   

Ma foi, vos commentaires outrés m´ont bien amusée.

Je suis assez d´accord, l´oncle Henri n´y est pas à son avantage.

Quand même, François est un peu c'*nc*n de remettre la carte dans le coffret, non ?

Mais je trouve l´oncle Henri encore plus détestable dans le Club des Cinq, quand non seulement il engage un mec juste parce qu´il  lui fait des ronds de jambe devant son travail, mais en plus il préfère lui donner sa confiance plutôt qu`à sa fille.
Et ce n´est qu´un début. Les "grandes personnes" ne font que c*nnerie sur c*nnerie. Un exemple ? Alors qu´on leur confie une fillette qui risque d´être enlevée, les époux Dorsel se barrent en abandonnant les enfants à la cuisinière. Ah bravo !

Bref. Revenons-en aux hommes. Oncle Henri, Lagarde, Lenoir (un sale type, il n´y  a pas que sa phobie des chiens), des types au tempérament colérique, qui préfèrent hurler avant de savoir. Mais c´est  apparemment normal, ils sont intelligents donc ils ont le droit. Les pères sont souvent violents, les grands savants comme les pères gitans.


Mais dans "En Embuscade", François pense que Pilou n´a pas eu assez de fessées sans doute.

Moi aussi j´étais révoltée par le comportement violent et surtout injuste de l´oncle Henri. Mais c´est tout à fait vrai que cela ajoute une tension tout à fait bienvenue dans les romans. Presque les larmes aux yeux, on prend fait et cause pour la pauvre Claude.

Sans vouloir faire de psychanalyse de comptoir    le fait que le père d'Enid ait quitté le "foyer conjugal" pour une autre femme alors qu'elle avait treize ans - et à l'époque on parlait d'"abandon de femme et enfants" - n'a pas dû embellir sa vision de la paternité...

Bonjour,
Oui, finalement je serais assez d'accord avec cette vision des choses, image paternelle dégradée, pour ne pas dire plus, du coup les pères sont souvent bien gratinés...
Que celà rajoute à l'histoire, O.K. mais je pense avoir démontré que l'on pouvait atteindre le même abjectif autrement, donc le choix délibéré, et répété sur plusieurs livres dénote plus une névrose perso de Enid que d'un réel but littéraire, mais bon, je ne suis ni psy, ni critique littéraire, (quoique ? )
Spéléo

J'interviens juste pour dire que malgré tout ce qu'on peut en dire, en déduire, c'est "le club des cinq" écrit tel qu'il est que j'aime... et pour rien au monde je ne voudrais qu'on en change ne serait-ce qu'une phrase !
C'est un parti-pris de Blyton, (ce qu'elle fait des mâles adultes   ) que je prends comme tel, sachant aussi qu'en caricaturant les pères, elle renforce notre amitié, notre compréhension  pour les enfants, et pour les "bons adultes"...

Quand j'étais gamine, l'oncle Henry me faisait flipper! Je le trouvais très méchant.
Mon regard d'adulte est un peu différent mais je ne le trouve pas sympa du tout. Ce qui me gêne, c'est qu'il accorde toujours sa confiance à des inconnus plutôt qu'à sa fille et à ses cousins! Énervant à la fin!
Mais je rejoins Serge en disant que le CD5 est écrit comme ça et qu'il me plait comme ça!
Et puis, que serait le CD5 sans oncle Henry?

Je pense que pour une série démarrée pendant la guerre, un père de famille sévère et injuste ne surprenait personne. Dans bon nombre de bouquins de la Comtesse de Ségur, les gamins se faisaient fouetter. Je crois que c'était aussi la norme dans les pensionnats et l'imaginaire anglais, surtout à l'époque de Blyton. Chez moi, en 1970, il y avait encore un martinet à la maison (même s'il n'a jamais servi).


Donc que Blyton crée un personnage de père de famille sévère + savant distrait n'est pas très surprenant. En fait c'est la réunion habile de 2 clichés romanesques. De ce fait, le caractère de l'Oncle Henri colle bien avec le caractère "soupe au lait" (jolie expression oubliée) de sa fille. Et le fait que Claude ne soit pas "parfaite" est une très belle trouvaille je trouve pour l'équilibre du c5

Sinon, sur le plan psy, on peut signaler que Blyton ne s'est pas déplacée pour l'enterrement de ses 2 parents

Oui Oldpuck, tu as raison, calmons le jeu, halte au feu.... nous n'avons jamais dit que nous voulions réécrire un C5 !
Je voulais juste montrer à quel point le comportement de l'oncle Henri est odieux.... tout le monde est d'accord sur ce point, ensuite en corrolaire, quelles étaient les intentions de Enid ? était-elle consciente de l'exagération du personnage qu'elle écrivait, ou pas ? et dans quelle mesure son histoire personnelle a influencé sur ce personnage.
Pour en remettre deux petites couches sur sa description de personnages masculins.
Oui, là encore pourquoi décrit-elle un personnage si prompt à donner raison à tous les étrangers qui passent et pas à ses neveux et fille ??? J'ai connu un papa comme çà, tous les autres enfants étaient formidables sauf les siens.... qui ont fini par se faire une raison, mais bon, et qui ensuite en jouaient, combien de fois ai-je été envoyé demander une permission que le propre fils savait qu'on lui refuserait... et à moi, on l'accordait... donc on a bien là un caractère commun à plusieurs papas..... en connaissez vous ?
Autre travers j'ai pensé à François et Mick lorsqu'ils rencontrent Jo pour la première fois, de mémoire seulement... il me semble que leur comportement est quelque peu vexant envers Claude.
Du genre, moi qui suis votre cousine, qui partage vos aventures depuis plusieurs livres, me voilà rejetée parce qu'une belle gitane est venu se trémousser devant vous ....
Là encore on reconnait un trait de caractère que bien des femmes mariées de ce forum reconnaitront, ou pas ! de nombreux hommes font les paons devant une femme inconnue pourvu qu'elle ait bonne figure diront nous pour rester correct... non ?
Mais là encore pas question de changer une ligne aux textes originaux....
Sinon que nous resterait-il à critiquer ???
Spéléo

En fait y a t-il un seul livre montrant un oncle Henri sympathique?

Il y avait eu un autre post à ce sujet !
J'y montrais, extraits à l'appui,  que si l'oncle Henri était parfois (souvent)  odieux, il savait reconnaître ses erreurs !
Et même féliciter Claude en lui disant : "Je suis fier de toi, mon garçon " !

L'oncle Henri ne m'énervait pas trop étant petite, je me disais " ça ne m'étonne pas qu'il agisse comme ça c'est un adulte!".  Maintenant je le trouve plutot sympathique. 
Le seul qui arrivait (et arrive encore) a me faire sortir de mes gonds c'était Francois, il est parfois totalement injuste avec les filles et encore plus avec Claude. Le pire exemple a mon avis: dans la Locomotive du Club des Cinq quand il invite Paule a aller en promenade avec eux sans consulter Claude tout en sachant qu'elle déteste Paule! Claude ayant décidé de rester pour cause de migraine, Mme Girard conseille a Francois de partir sans elle car "Claude sera punie de son caprice et ne recommencera pas"!!! Francois aurait pu demander a Claude avant d'inviter Paule quand même! Et deux chapitres plus tard les garçons se réjouissent "de voir que Claude était revenue a la raison".

Oui, François est souvent un donneur de leçons... parfois trop autoritaire ! 
Il peut être agaçant !

Bonjour,
Il est amusant de voir à quel point le fait d'être un garçon ou une fille peut influencer sur la perception des choses, des péripéties des livres.
Je trouvais Claude un peu bizare avec cette manie de vouloir être un garçon, François quant à lui ne me choquait pas tellement, étant un aîné moi même, je reconnais avoir été odieux avec mes deux frères et ma soeur parfois.... mais bon, c'est comme çà.
Il n'empêche que petit, lorsque j'ai lu ces livres pour la première fois, je n'étais pas plus choqué que celà par les caractères un peu typés de nos personnages.
Claude qui veut être un garçon...
François qui est dirigiste.
Mick , au fait rien de particulier pour lui...
Annie, petite bonne femme, douce, docile, peureuse, et qui fait la cuisine et le ménage.... et avec plaisir...
Henri, bon, on a déjà tout dit sur lui, pas la peine d'en remettre une couche...
La tante, trop effacée, acceptant tout, calmant le jeu, ...
Tout çà est vraiment très caricatural.... avec mes yeux d'adulte, mais enfant, celà me faisait juste sourire, et sans doue que je ne notais pas tout.... certaines choses devaient me sembler naturelles.
Spéléo

speleo26 a écrit:

Mick , au fait rien de particulier pour lui...

Non, il est tout simplement très sympa  et marrant J´aime beaucoup Mick. Et il est trop mimi dans la série TV 79.
Il est une sorte de valeur sûre, ne fait pas de vague, ne déclenche pas les passions, n´énerve personne.

Mick est souvent l'humoriste de la bande, soit il taquine Claude, soit il s'occupe de mettre une bonne ambiance

je viens de lire un "Famille HLM" et, par comparaison avec le cd5, c'est un peu ennuyeux qu'il n'y ait aucun problème : les enfants sont très gentils, les parents sont très gentils, la plupart des adultes également, sauf le méchant de l'histoire.

Dans le cd5, Blyton a eu le talent je trouve de rendre plus vivantes ses histoires en inventant les conflits entre l'oncle Henri et les enfants; entre Claude et ses cousins; entre Claude et la société (son refus d'être une fille). En plus, Claude est souvent fâchée avec un personnage positif : Paule, Pilou, Jo, etc. Ces disputes ajoutent du piment à l'intrigue principale (la confrontation avec des bandits)

Mick c'est mon préféré parmi les cinq. C'est vrai qu'íl aime mettre de l'ambiance et dédramatiser la situation. Il est parfois injuste avec Claude, mais je lui trouve toujours des excuses...

Je pense que le personnage d'oncle Henri n'a pas été exagéré par Enid. C'est vrai qu'íl est parfois odieux et injuste, mais au moins il ne bat pas Claude. Je pense que c'était courant a l'époque. Dans un des Club des cing je crois d'ailleurs qu'il menace un des garçons d'une bonne correction (a moins que ce ne soit Mr Lenoir et non oncle Henri).